À dix neuf heures avec un soleil voilé et une température douce, vingt trois marcheurs ont entrepris le circuit. Nous étions peu nombreux des "Rangs d'honneur", davantage des "Trotte sentiers", des béarnais et me semble t'il peu de locaux… Les cavaliers qui empruntaient partiellement le même circuit, dans l'autre sens, étaient aussi près de vingt.
Ce parcours de 10,5 km (2h30) a été apprécié par les marcheurs, même par ceux qui ne sont pas habitués à sortir ainsi des chemins. La troupe s'est plusieurs fois étirée à la faveur des diverses difficultés…
Le soleil avait disparu au moment de traverser les bois le long du Gabas dans la "galerie" ouverte en début de semaine. C'était en quelque sorte la soirée inaugurale de cette galerie, sans accrochage! Quelques lampes de poche ont été allumées, mais elles n'étaient pas indispensables. La forêt était bien sombre mais personne n'a paniqué! Çette semi obscurité donnait l'occasion de sensations particulières.
Nous avons dû sortir du bois plus tôt que prévu: des barbelés, joliment habillés de branchages, avaient fleuri à chaque entrée d'une parcelle de forêt que nous avions prévu de traverser! Un chemin (non officiel) était pourtant déjà tracé, dégagé. Nous n'avions que nettoyé très légèrement et mis deux ou trois rubans. Nous n'allions gêner personne, il n'y a pas de palombière, le propriétaire habite Arzacq…
Heureusement ce bois est longé par une bande enherbée bordant un champ du Maire de Pimbo, fraîchement tondue pour nous. Ainsi, vue dégagée, nous avons pu apercevoir le bourg et son église éclairés, là haut!
Avec le crépuscule restait à grimper la côte du moulin! Quel pourcentage? Je ne sais vous dire l'état de tous les participants à l'arrivée… Les uns sont repartis directement chez eux, d'autres ont bu une bière avant, très peu sont restés au repas sur la place de l'église, animé par les chanteurs basques Ozenki.
Irène Theux (de Pimbo, membre des Trotte-sentiers) avait amené son cabas garni d'apéritifs pour les randonneurs. Il faisait bon mais nous avons dû quitter la table pour la laisser aux retardataires, tant l'affluence était grande.
Une sortie qui change des habitudes. Un parcours à refaire.
François
Ce parcours de 10,5 km (2h30) a été apprécié par les marcheurs, même par ceux qui ne sont pas habitués à sortir ainsi des chemins. La troupe s'est plusieurs fois étirée à la faveur des diverses difficultés…
Le soleil avait disparu au moment de traverser les bois le long du Gabas dans la "galerie" ouverte en début de semaine. C'était en quelque sorte la soirée inaugurale de cette galerie, sans accrochage! Quelques lampes de poche ont été allumées, mais elles n'étaient pas indispensables. La forêt était bien sombre mais personne n'a paniqué! Çette semi obscurité donnait l'occasion de sensations particulières.
Nous avons dû sortir du bois plus tôt que prévu: des barbelés, joliment habillés de branchages, avaient fleuri à chaque entrée d'une parcelle de forêt que nous avions prévu de traverser! Un chemin (non officiel) était pourtant déjà tracé, dégagé. Nous n'avions que nettoyé très légèrement et mis deux ou trois rubans. Nous n'allions gêner personne, il n'y a pas de palombière, le propriétaire habite Arzacq…
Heureusement ce bois est longé par une bande enherbée bordant un champ du Maire de Pimbo, fraîchement tondue pour nous. Ainsi, vue dégagée, nous avons pu apercevoir le bourg et son église éclairés, là haut!
Avec le crépuscule restait à grimper la côte du moulin! Quel pourcentage? Je ne sais vous dire l'état de tous les participants à l'arrivée… Les uns sont repartis directement chez eux, d'autres ont bu une bière avant, très peu sont restés au repas sur la place de l'église, animé par les chanteurs basques Ozenki.
Irène Theux (de Pimbo, membre des Trotte-sentiers) avait amené son cabas garni d'apéritifs pour les randonneurs. Il faisait bon mais nous avons dû quitter la table pour la laisser aux retardataires, tant l'affluence était grande.
Une sortie qui change des habitudes. Un parcours à refaire.
François